Etes-vous atteint de road rage ?
Des Etats-Unis d’Amérique à l’Europe en passant par l’Inde, tous les conducteurs rencontreront un jour la rage routière. Traduction de « road rage », terme qui émerge au milieu des années 90 dans la presse anglo-saxonne, cette crise de nerf entraîne des accidents, accrochages et autres affrontements fous furieux.
Ce mélange de stress, d’anxiété, d’insatisfaction et d’agressivité est le cocktail Molotov de l’accident routier.
Nos 5 conseils pour éviter de tomber dans ce risque routier :
Je respire
Queue de poisson, opération escargot… le pire est de focaliser sur l’objet de votre énervement. Optez pour la stratégie de la pensée positive. Pensez à vos prochaines vacances, à votre dernier fou-rire… faites appel à toutes les pensées qui génèreront un bien-être.
Je la joue fair-play
On vous klaxonne ? N’étiez-vous pas un peu en tort ? Un sourire en guise de courtoisie au volant et l’affaire est résolue.
J’évite l’affrontement
Le conducteur en face force le passage ? Je le laisse passer. Il la joue gros bras ? Je réponds version Gandhi.
Je ralentis
La rage routière entraîne en général un accélération du coeur, mais aussi de la vitesse. Plus la vitesse est grande plus le risque augmente. Alors, freinez…
Je m’arrête de rouler
Vous allez exploser ? Direction un parking, une aire de repos, un banc public pour une séance de yoga post-routier…