Avec le casque de vélo, le risque de blessures à la tête n’est pas comparable
Selon une étude de l’Ifsttar, le risque d’être blessé à vélo est de 1 pour 10 000 heures pratiquées ! C’est près de 8 plus que celui d’avoir un accident de voiture.
Le casque !
Sans casque de vélo pour vous protéger, c’est la tête qui se trouve en première ligne, en cas d’accident avec un véhicule ou simplement si vous dérapez sur du gravier. Le plus souvent, si ce n’est une petite bosse, vous pouvez aussi souffrir de séquelles cognitives et comportementales.
Le casque de vélo permet ainsi d’éviter ou de diminuer fortement les risques lésionnels à la tête tels que les fractures ou les hématomes pour des vitesses de choc de l’ordre de 25 km/h.